[nostradamus--dans--le--bus]

Il faudrait rien changer à la doyenne juste la raccourcir un peu pour que le sommet de Saint Nicolas soit à 23 km de l' arrivée et après on termine comme à l' amstel avec deux dernières difficulté très light.

1 km à 6 % à 15 bornes et 2 km à 4 % à 10 bornes. On finirait sur 8 km de plat et 25 derniers km assez light.

J' ai trouvé le final de l' Amstel formidable, juste assez dur pour que les deux plus forts s' isolent, si le groupe fait plus de 20 tu peux pas partir je pense.

T' as intéret d avoir éliminer GVA au sommet de Saint Nicolas voir Sagan qui pourrait venir.

[nostradamus--dans--le--bus]

T as un Sagan qui participe avec ce parcours, faut durcir très tot pour l' empecher d' etre dans les 20 derniers km. Lui et Matthew et Colbrelli vont tout faire pour revenir avec leurs équipes s' ils sont qu' à 30 secondes au sommet de Saint Nicolas.

[biquet]

L'an dernier, Sagan était le meilleur sprinter du monde, mais chaque fois qu'il le pouvait, il dynamitait la course!! Il s'emmerderait s'il devait attendre les 500 derniers mètres pour mettre le nez dehors. C'est une autre vision du cyclisme, qui peut d'ailleurs lui coûter des victoires, mais qui fera qu'on se souviendra longtemps de lui. Idem pour Contador. Et pourtant, je suis pas fan du madrilène, trés loin de là. Mais force est de reconnaître qu'il laissera un souvenir très marquant, au contraire de coureurs comme Zabel, Freire, Evans ou Purito (que j'appréciais bcp, c'est pas une info) qui ont disparu des mémoires aussitôt qu'ils ont rangé leurs vélos. Cancellara, Boonen, ce sont leurs chevauchées solitaires qui ont frappé les esprits . Le numéro de Gilbert dans les Flandres, on s'en souviendra, alors que son titre Mondial sera rejeté aux oubliettes, vu le scénario de la course . Et force est de constater que les coureurs actuels les plus marquants, ce sont encore les Flandriens. Même Quintana possède un palmarès exceptionnel pour son âge, mais j'aimerais vraiment qu'il réalise un très grand numéro dans l'étape de Bormio, lors du prochain Giro. Histoire de laisser une vraie trace, quoi. Mais bon, les coureurs s'en foutent, de ces considérations temporelles. Ils sont là pour gagner, pas pour faire vibrer.