- 11 juin 2018, 21:01
#2842363
En plus se faire prendre à nouveau lorsqu'on attend le procès de la première fois, c'est pas très malin et ca va pas trop l'aider
Modérateur : Modos VCN
Nopik a écrit : ↑11 juin 2018, 20:25https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-rou ... rio/909995Ca c'est donc l'affaire de 2012 pour laquelle il a fait un prudhommes à cofidis ?Jugé pour avoir détenu en 2012 du matériel permettant de se doper, Rémy Di Grégorio risque un an de prison avec sursis et l'interdiction définitive d'exercer la profession de coureur cycliste professionnel.
Alors membre de l'équipe Cofidis, Rémy Grégorio avait été interpellé sur le Tour de France le 10 juillet 2012 à Bourg-en-Bresse, lors d'une journée de repos. Ce qu'il ignorait, c'est qu'il était sur écoute depuis un an. Ses contacts avec un sulfureux coureur espagnol, avec son médecin - un naturopathe marseillais - et avec sa compagne, laissaient transparaître une volonté de recourir au dopage et à des méthodes d'ozonothérapie, une technique d'autotransfusion avec réinjection de sans enrichi à l'ozone. Circonstance aggravante, Di Grégorio avait commandé sur internet avant le Tour 100 microperfuseurs à ailettes, 80 seringues de 20 ml et acquis dans une pharmacie marseillaise un flacon de 500 mg de glucose. Le glucose peut notamment être utilisé pour masquer d'éventuelles prise de produits dopants.
Selon Franck Lagier, le procureur en charge du pôle santé publique du tribunal de Marseille, Rémy Di Grégorio «n'est pas un coureur vertueux animé par une volonté de gagner des courses à la loyale et il a mis à mal l'éthique sportive de ce monument qu'est le Tour de France. »
La violence du truc.
Mais il n'y a rien de nouveau dans cet article.Nopik a écrit : ↑11 juin 2018, 20:25https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-rou ... rio/909995Ca c'est donc l'affaire de 2012 pour laquelle il a fait un prudhommes à cofidis ?Jugé pour avoir détenu en 2012 du matériel permettant de se doper, Rémy Di Grégorio risque un an de prison avec sursis et l'interdiction définitive d'exercer la profession de coureur cycliste professionnel.
Alors membre de l'équipe Cofidis, Rémy Grégorio avait été interpellé sur le Tour de France le 10 juillet 2012 à Bourg-en-Bresse, lors d'une journée de repos. Ce qu'il ignorait, c'est qu'il était sur écoute depuis un an. Ses contacts avec un sulfureux coureur espagnol, avec son médecin - un naturopathe marseillais - et avec sa compagne, laissaient transparaître une volonté de recourir au dopage et à des méthodes d'ozonothérapie, une technique d'autotransfusion avec réinjection de sans enrichi à l'ozone. Circonstance aggravante, Di Grégorio avait commandé sur internet avant le Tour 100 microperfuseurs à ailettes, 80 seringues de 20 ml et acquis dans une pharmacie marseillaise un flacon de 500 mg de glucose. Le glucose peut notamment être utilisé pour masquer d'éventuelles prise de produits dopants.
Selon Franck Lagier, le procureur en charge du pôle santé publique du tribunal de Marseille, Rémy Di Grégorio «n'est pas un coureur vertueux animé par une volonté de gagner des courses à la loyale et il a mis à mal l'éthique sportive de ce monument qu'est le Tour de France. »
La violence du truc.
Je comprends pas bien. Comment a t’il pu gagner aux prud’hommes contre Cofidis si l’affaire qui a conduit à son licenciement n’avait pas été jugé ? A la place de Cofidis, je n’hésiterai pas à me retourner contre lui (si c’est possible au niveau juridique). C’est sûr que l’epo va peser lourd dans ce procès.
On est d'accord que c'est le fait de faire des perfusions qui est considéré comme dopant, pas le glucose ? D'ailleurs j'avais entendu dire que c'est pour ça que Sagan s'empiffrait de dragibus à l'arrivée des courses. Le sucre est un droit fondamental du cycliste, après une longue sortie ou une course éprouvanteBradounet_ a écrit : ↑11 juin 2018, 23:00Le glucose est utilisé pour se faire des perfusions après les étapes pour reconstituer immédiatement les stocks en glycogène.Nopik a écrit : ↑11 juin 2018, 20:25https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-rou ... rio/909995
Ca c'est donc l'affaire de 2012 pour laquelle il a fait un prudhommes à cofidis ?
La violence du truc.
On reste dans un dopage très léger qui était autorisé il y a dix ans de cela.
C'est quand le déclassement de tous ses résultats en 2018 ?Nopik a écrit : ↑11 juin 2018, 20:25https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-rou ... rio/909995Ca c'est donc l'affaire de 2012 pour laquelle il a fait un prudhommes à cofidis ?Jugé pour avoir détenu en 2012 du matériel permettant de se doper, Rémy Di Grégorio risque un an de prison avec sursis et l'interdiction définitive d'exercer la profession de coureur cycliste professionnel.
Alors membre de l'équipe Cofidis, Rémy Grégorio avait été interpellé sur le Tour de France le 10 juillet 2012 à Bourg-en-Bresse, lors d'une journée de repos. Ce qu'il ignorait, c'est qu'il était sur écoute depuis un an. Ses contacts avec un sulfureux coureur espagnol, avec son médecin - un naturopathe marseillais - et avec sa compagne, laissaient transparaître une volonté de recourir au dopage et à des méthodes d'ozonothérapie, une technique d'autotransfusion avec réinjection de sans enrichi à l'ozone. Circonstance aggravante, Di Grégorio avait commandé sur internet avant le Tour 100 microperfuseurs à ailettes, 80 seringues de 20 ml et acquis dans une pharmacie marseillaise un flacon de 500 mg de glucose. Le glucose peut notamment être utilisé pour masquer d'éventuelles prise de produits dopants.
Selon Franck Lagier, le procureur en charge du pôle santé publique du tribunal de Marseille, Rémy Di Grégorio «n'est pas un coureur vertueux animé par une volonté de gagner des courses à la loyale et il a mis à mal l'éthique sportive de ce monument qu'est le Tour de France. »
La violence du truc.
Avec ton nom, difficile d’adopter une autre postureLe sucre sportif a écrit : ↑12 juin 2018, 00:45On est d'accord que c'est le fait de faire des perfusions qui est considéré comme dopant, pas le glucose ? D'ailleurs j'avais entendu dire que c'est pour ça que Sagan s'empiffrait de dragibus à l'arrivée des courses. Le sucre est un droit fondamental du cycliste, après une longue sortie ou une course éprouvanteBradounet_ a écrit : ↑11 juin 2018, 23:00
Le glucose est utilisé pour se faire des perfusions après les étapes pour reconstituer immédiatement les stocks en glycogène.
On reste dans un dopage très léger qui était autorisé il y a dix ans de cela.
Oui, ça s'appelle la France.tuco a écrit : ↑11 juin 2018, 21:12Nopik a écrit : ↑11 juin 2018, 20:25https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-rou ... rio/909995
Ca c'est donc l'affaire de 2012 pour laquelle il a fait un prudhommes à cofidis ?
La violence du truc.
un an de prison ????
Je me souviens de l'affaire d'un type qui avait torturé son chien et avait pris seulement 3 mois de sursis
(tiens, y'a plus le smiley vomi je voulais l'utiliser,là)
Sérieux ? Putain ce gars est génial !Le sucre sportif a écrit : ↑12 juin 2018, 00:45On est d'accord que c'est le fait de faire des perfusions qui est considéré comme dopant, pas le glucose ? D'ailleurs j'avais entendu dire que c'est pour ça que Sagan s'empiffrait de dragibus à l'arrivée des courses. Le sucre est un droit fondamental du cycliste, après une longue sortie ou une course éprouvanteBradounet_ a écrit : ↑11 juin 2018, 23:00
Le glucose est utilisé pour se faire des perfusions après les étapes pour reconstituer immédiatement les stocks en glycogène.
On reste dans un dopage très léger qui était autorisé il y a dix ans de cela.
Dopé aux dragibus et fraises tagada... ho m... lolEl_Pistolero_07 a écrit : ↑12 juin 2018, 07:57Sérieux ? Putain ce gars est génial !Le sucre sportif a écrit : ↑12 juin 2018, 00:45
On est d'accord que c'est le fait de faire des perfusions qui est considéré comme dopant, pas le glucose ? D'ailleurs j'avais entendu dire que c'est pour ça que Sagan s'empiffrait de dragibus à l'arrivée des courses. Le sucre est un droit fondamental du cycliste, après une longue sortie ou une course éprouvante
El_Pistolero_07 a écrit : ↑12 juin 2018, 07:57Sérieux ? Putain ce gars est génial !Le sucre sportif a écrit : ↑12 juin 2018, 00:45
On est d'accord que c'est le fait de faire des perfusions qui est considéré comme dopant, pas le glucose ? D'ailleurs j'avais entendu dire que c'est pour ça que Sagan s'empiffrait de dragibus à l'arrivée des courses. Le sucre est un droit fondamental du cycliste, après une longue sortie ou une course éprouvante
Euh, si je ne dis pas de bêtise, c'est uniquement à l'entraînement, et uniquement pendant une partie de l'entraînement hivernal ? Il n'est pas question de faire des courses avec le moins de glucide possible.
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Assez d'accord avec ton analyse sur Lapeira, et su[…]