Des lectures a conseiller ?
Modérateur : Modos VCN
Le terme soudure qui revient à longueur de temps est effectivement assezBooze a écrit : ↑10 juin 2018, 14:03Sur les livres vélos à lire dans les prochaines semaines, j'ai sur ma liste : Racer de David Millar, et Draft Animal de Phil Gaimon. En ce moment, je lis Comment remporter une course cycliste de Peter Cossins. C'est un retour sur les différents aspects tactiques et strategiques à l'oeuvre dans une course de vélo. Par contre, c'est horriblement mal traduit. Certaines phrases ne veulent rien dire. D'ailleurs, c'est une chose que je constate de plus en plus dans la litterature sportive d'aujourd'hui : le faible niveau des traductions.
Cycliste infiltré, c'était un "attentat interprétal". J'ai le sentiment que les maisons d'édition ou que les traducteurs prennent le boulot par-dessus la jambe. Dans certaines publications, on sent que le traducteur n'a aucune notion du sujet du livre. C'est gênant. Ca fait traduction low cost, à la chaine. En sciences humaines ou philosophie, les traducteurs - souvent profs - maîtrisent le sujet. Pour le sport, on prend n'importe qui. Et les types ne donnent pas l'impression d'avoir creusé le sujet.
Je pourrais me laisser tenter car beaucoup de bien a été dit sur ce livre mais ce livre dit-il quelque chose sur le « cyclisme d’aujourd’hui », sur le cyclisme global quoi, que ce soit en terme de dopage ou pas?
Ca c'est donc l'affaire de 2012 pour laquelle il a fait un prudhommes à cofidis ?Jugé pour avoir détenu en 2012 du matériel permettant de se doper, Rémy Di Grégorio risque un an de prison avec sursis et l'interdiction définitive d'exercer la profession de coureur cycliste professionnel.
Alors membre de l'équipe Cofidis, Rémy Grégorio avait été interpellé sur le Tour de France le 10 juillet 2012 à Bourg-en-Bresse, lors d'une journée de repos. Ce qu'il ignorait, c'est qu'il était sur écoute depuis un an. Ses contacts avec un sulfureux coureur espagnol, avec son médecin - un naturopathe marseillais - et avec sa compagne, laissaient transparaître une volonté de recourir au dopage et à des méthodes d'ozonothérapie, une technique d'autotransfusion avec réinjection de sans enrichi à l'ozone. Circonstance aggravante, Di Grégorio avait commandé sur internet avant le Tour 100 microperfuseurs à ailettes, 80 seringues de 20 ml et acquis dans une pharmacie marseillaise un flacon de 500 mg de glucose. Le glucose peut notamment être utilisé pour masquer d'éventuelles prise de produits dopants.
Selon Franck Lagier, le procureur en charge du pôle santé publique du tribunal de Marseille, Rémy Di Grégorio «n'est pas un coureur vertueux animé par une volonté de gagner des courses à la loyale et il a mis à mal l'éthique sportive de ce monument qu'est le Tour de France. »
La roue finit toujours par tourner pour les tocards. Et vu toutes les preuves à son encontre , s'en est un beau de tocard. Mentalité sacrément pourrie , aucune gène ni rien , vivement les suspensions à vie pour qu'on soit définitivement tranquille de ces boulets.