- 11 juin 2018, 08:10
#2841746
Dans le sujet où Gato et Crabtree nous ont fait découvrir que VanSteenbergen fut considéré par ses pairs comme le meilleur coureur de l’histoire, en incluant sa domination impériale sur plus de deux décennies sur les pistes des vélodromes du monde entier, il est apparu encore plus criant que les classements resteront toujours très relatifs, ce qu’on avait d’ailleurs déjà convenu dans d’autres discussions.
Ma fascination personnelle pour les classements, c’est surtout les chiffres et tenter de créer des courses imaginaires entres les champions sur la base de leurs résultats puisqu’il n’y a que là-dessus qu’on peut mettre des chiffres en jouant avec les barèmes et les choix de courses. D’ailleurs les divers classements consultables donnent tous des rangs différents. Les épreuves sur piste sont toujours ignoré, sauf le Record de l'Heure.
Je veux bien admettre que les chiffres ne montrent que la face visible de la valeur des champions, mais tout de même, on peut bien prétendre que Louis Aimar (ne pas confondre avec Lucien Aimar le vainqueur du Tour 1966), était sans doute le plus fort coureur Français des années d’Occupation, mais sans des résultats sur les grandes courses, ça reste un jugement de valeur impossible à classer, c’est pourquoi je préfère les classements à base de chiffre qui de toutes les manières placent les meilleurs aux rangs les plus hauts même s’il y a des variations parfois surprenantes. Et je suis fier de présenter par tranches d’époque le dernier classement que j’avais promis de compléter après celui où seuls les 10 premiers des GT et Monuments (incluant un minimum pour les victoires d’étapes des GT).
Il y avait des cas d’égalité qu’il me fallait départager. Voici les cas les plus frappants :
Ces 3 coureurs là :
30 C. Gaul .. 625
30 J. Janssen .. 625
30 G. Saronni .. 625
Mais surtout les deux meilleurs sprinters.
77 M. Cavendish .. 401
77 M. Cipollini .. 401
Donc, je rappelle le barème appliqué pour départager tout ce beau monde de façon le plus honnête possible.
Le premier avec les TOP10 de prestige :
Puis celui qui tient compte de toutes les autres épreuves d'importances.
Je vais attendre quelques jours pour livrer quotidiennement environ 40 coureurs par époque, je détermine les 12 groupes par la dernière saison avec leur dernier résultat valable. Histoire de comparer les meilleurs avec leurs contemporains. Le premier groupe sera ceux qui parmi mes 500 premiers classés ont terminé l'essentiel de leur carrière avant 1924.
Ceux qui souhaitent tenter de présenter un TOP10 historique idéal en attendant le début du Tour de France je vais beaucoup apprécier et comparer avec le résultat final qui ne se prétend pas le plus valable, mais il respecte au moins les résultats des principales courses de l’histoire.
Ma fascination personnelle pour les classements, c’est surtout les chiffres et tenter de créer des courses imaginaires entres les champions sur la base de leurs résultats puisqu’il n’y a que là-dessus qu’on peut mettre des chiffres en jouant avec les barèmes et les choix de courses. D’ailleurs les divers classements consultables donnent tous des rangs différents. Les épreuves sur piste sont toujours ignoré, sauf le Record de l'Heure.
Je veux bien admettre que les chiffres ne montrent que la face visible de la valeur des champions, mais tout de même, on peut bien prétendre que Louis Aimar (ne pas confondre avec Lucien Aimar le vainqueur du Tour 1966), était sans doute le plus fort coureur Français des années d’Occupation, mais sans des résultats sur les grandes courses, ça reste un jugement de valeur impossible à classer, c’est pourquoi je préfère les classements à base de chiffre qui de toutes les manières placent les meilleurs aux rangs les plus hauts même s’il y a des variations parfois surprenantes. Et je suis fier de présenter par tranches d’époque le dernier classement que j’avais promis de compléter après celui où seuls les 10 premiers des GT et Monuments (incluant un minimum pour les victoires d’étapes des GT).
Il y avait des cas d’égalité qu’il me fallait départager. Voici les cas les plus frappants :
Ces 3 coureurs là :
30 C. Gaul .. 625
30 J. Janssen .. 625
30 G. Saronni .. 625
Mais surtout les deux meilleurs sprinters.
77 M. Cavendish .. 401
77 M. Cipollini .. 401
Donc, je rappelle le barème appliqué pour départager tout ce beau monde de façon le plus honnête possible.
Le premier avec les TOP10 de prestige :
Puis celui qui tient compte de toutes les autres épreuves d'importances.
Je vais attendre quelques jours pour livrer quotidiennement environ 40 coureurs par époque, je détermine les 12 groupes par la dernière saison avec leur dernier résultat valable. Histoire de comparer les meilleurs avec leurs contemporains. Le premier groupe sera ceux qui parmi mes 500 premiers classés ont terminé l'essentiel de leur carrière avant 1924.
Ceux qui souhaitent tenter de présenter un TOP10 historique idéal en attendant le début du Tour de France je vais beaucoup apprécier et comparer avec le résultat final qui ne se prétend pas le plus valable, mais il respecte au moins les résultats des principales courses de l’histoire.