- 28 févr. 2017, 15:39
#2533197
En termes historique, je dirais A avec plus de 60%.
Même pour un sprinter, performer dans le temps sur les GTs (et pour bien faire, sur les trois), c'est quand même le gage de rester dans la légende.
En termes sportifs pour le coureur, je dirais pareil mais plus aux alentours de 50%, pour l'exposition médiatique et les possibilités de contrats juteux/ surcotage (même si beaucoup se brûlent les ailes^^).
L'exception va être pour les flandriens et les chasseurs de monuments qui n'auront pas besoin des GTs pour exister en tant que stars.
Après, je parle de mecs capables de peser sur la course, qui viseront soit un podium au classement final, soit une belle étape.
Pour le spectateur, je dirais plutôt B genre 40%, on a souvent des courses stéréotypés depuis au moins 15 ans sur le TdF, un plateau discutable sur le Giro, en général un an sur trois. Je trouve la Vuelta limite plus sympa, course assez débridée, plateau sympa, etc...
Mais voilà, les GTs restent, comme dit plus haut, incontournables, de mon avis.